ja Bill le chat où il est ? hein ?
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bon je vous avais promis de belles photos du concert les voilà :
des videos :
https://www.youtube.com/watch?v=jUPykCPZQ8M
https://www.youtube.com/watch?v=ABKPjSdiog8
https://www.youtube.com/watch?v=x0OtFKsjB58
https://www.youtube.com/watch?v=GpBi8wvqkxs
https://www.youtube.com/watch?v=ikmrHiaXkbM
https://www.youtube.com/watch?v=zXfV-ePFn2s
https://www.youtube.com/watch?v=KMcD3uVqZqA
https://www.youtube.com/watch?v=1NVdQXqREVI
https://www.youtube.com/watch?v=_Ye81r8EBUc
https://www.youtube.com/watch?v=zwbg95ZHq7w
Tokio Hotel chegando a Via Funchal no Brasil 23/11/10 https://www.youtube.com/watch?v=3zU5GHyUtIk
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23.11.2010 - MTV Brésil, Interview avec Tokio Hotel.la video https://www.youtube.com/watch?v=p7RcJXBAyh0
Quel est le dernier concert que vous avez vu, et qui était vraiment impressionnant ?
Bill : Laisse-moi réfléchir... j'étais au concert de KISS, tu connais ?
Oui, oui !
Bill : Donc ils sont très cool, nous les avons vus à Hambourg... C'était un concert fantastique, j'aime beaucoup KISS...
Vous les connaissez personnellement ?
Bill : Non, non, j'ai juste assisté au concert, parfois j'aime bien juste être là, et regarder ce que les autres font, et KISS, c'était vraiment un concert incroyable, vraiment très bien. J'ai aussi vu d'autres concerts, la plupart d'entre eux étaient très mauvais, donc je ne veux pas en parler. (rires)
Georg : Il y a eu aussi les Black Eyed Peas !
Bill : Black Eyed Peas ! Leur concert était génial aussi, oui. Et récemment j'ai assisté au concert d'Usher, à L.A.
Il y a eu pleins d'explosions, non ?
Bill : Oui, pleins d'explosions.
Et tu as aimé ?
Bill : Oui, c'était cool.
Vous vous souvenez du tout premier concert auquel vous avez assisté ?
Bill : Pour moi, je crois que c'était un concert de Nena.
Nina Hagen ?
Bill : Nena, celle qui chante « 99 Red Ballons ».
Ah, oui ! (il commence à fredonner)
Bill : Oui, c'est elle ! J'avais neuf ans, donc j'étais vraiment jeune, et c'était mon premier concert.
Tom : Mon premier concert, c'était le mien, je pense.
Georg : Oui.
Vraiment ? Tu n'as jamais été à un concert avant ? Donc il n'y avait que ton frère qui s'amusait ?
Tom : C'était notre propre concert, nous avions 9 ans, 8 ans...
Tu te souviens de ton premier concert ?
Gustav : Je crois que c'était un festival avec Joe Cocker, Tina Turner, Eric Clapton...
Wow. Moi, mon premier concert, je crois que c'était Xuxa, c'était horrible. C'est une présentatrice télé, en fait. C'est marrant, parce qu'elle joue pour les enfants, mais c'est une personne très sexuelle.
Bill : Ah, d'accord, c'est marrant.
Elle porte des minishorts... C'est le genre d'artiste que nous avons pour les enfants ici, au Brésil.
Bill : Vraiment ?
Tom : Moi, j'adore.
T'adore ça ? (rires)
Lorsque vous étiez plus jeunes, est-ce que vous portiez les mêmes vêtements, votre mère vous donnait les mêmes habits ?
Bill : Oui, c'était le cas, jusqu'à nos 6 ans, je crois... Ensuite, nous avions nos propres vêtements...
Oui, vous êtes très différents, maintenant.
Bill : Oui, nous avons évolué dans deux directions totalement différentes, je ne sais pas pourquoi, mais c'était comme ça. Mais nous sommes comme une seule personne. C'est comme si vous aviez deux extrêmes, et en les réunissant, vous formiez une unique personne. Et nous pensons toujours pareil, donc nous sommes assez similaires.
Et vous avez ce truc de jumeau, l'un peut ressentir la même chose que l'autre ?
Bill : Oui...
Ce n'est pas bizarre ?
Bill : Je pense que la connexion est vraiment spéciale parce que nous sommes de vrais jumeaux. Je pense qu'on ne peut comprendre que si l'on a soi-même un vrai jumeau. C'est vraiment étrange, lorsque nous ne sommes pas ensemble, je peux sentir si Tom ne se sent pas bien, et l'inverse va aussi...
Tom : Mais la plupart du temps, on est ensemble.
Donc vous n'avez pas besoin de vous parler, juste de vous regarder. Et vous aussi, vous ressentez la même chose que l'autre ?
Georg : Oui, ça marche aussi pour nous, et mieux...
Vous n'êtes pas jumeaux, si ?
Gustav : Non...
Tom : Mais ils dorment ensemble.
Bill : Ils se ressemblent.
Oh, ils dorment ensemble ? Mon Dieu ! Tu veux en parler ?
Georg : Plus tard. Hors caméra !
C'est bien de dormir avec lui ? Hors caméra ? D'accord, on parlera de ça plus tard !
J'adore la façon dont vous vous habillez. Surtout lui (Bill), désolé.
Georg : Oh ! Tu n'aimes pas ma coiffure ?
Non, en fait...
Georg : Dommage...
Tu es trop simple ! Mais lui, je l'adore !
Georg : J'adore tes chaussures !
Tu aimes mes chaussures ? Je vais te les donner, comme ça tu pourras jouer sur scène avec. Mais toi, j'adore ton style, comme en es-tu arrivé à ça, et quand tu vas dans un supermarché, tu t'habilles comme ça ?
Bill : Plus maintenant, parce que...
Tom : Pour dire vrai, on ne va plus dans les supermarchés.
Bill : En Allemagne, je ne peux plus sortir seul.
Au Brésil non plus !
Bill : Et j'étais juste chez moi, je ne sortais jamais... Mais quand je voyage, je m'habille... vraiment, de façon plus simple.
Mais c'est quoi, ton style simple ? Un t-shirt, et un jean ?
Bill : Oui !
Tom : Plutôt comme ta tenue, en fait.
Oh, c'est le style simple, d'accord ! (rires)
Bill : Non, c'est un t-shirt et un jean, des choses confortables, juste pour voyager, et pour être en peu plus en privé.
Et on te reconnaît lorsque tu t'habilles comme ça ?
Bill : Oui, j'ai tout essayé...
Ils pensent que tu es Tom ?
Bill : Non... Mais quand j'allais à l'école, j'y allais, habillé comme ça.
Non, c'est vrai ?
Bill : Oui, je me maquillais tout le temps, j'avais des coiffures un peu folles. J'ai tout commencé très jeune. Donc je me suis teint les cheveux pour la première fois à 9 ans.
Oh, mais tu as toujours des coiffures un peu folle, moi, je ne peux pas rivaliser...
Bill : Non, mais tes cheveux sont bien.
Je ne peux que rêver de cheveux comme ça ! Merci beaucoup, j'espère que le concert se passera bien, ce fut un plaisir de parler avec vous.
Le groupe : Merci !
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petite anecdote
Some facts of the Press conference - 23.11.2010-
Bill est arrivé dans la pièce avec un verre de Coca-Cola (Glaçons +
Citron) et le partageait avec son frère. Ils ont tout les deux bu dans
le même verre !
- Tom à voulu de l'eau, mais sa bouteille était en verre et il fallait un décapsuleur pour l'ouvrir. Quand il a essayé de l'ouvrir, c'était difficile et un photographe lui est venu en aide. #Pauvre-lui- Georg et Tom on fait de petites plaisanteries avec des gestes que nous pouvons pas reproduire ici.- à la fin de la conférence, Bill est resté coincé sur sa chaise à cause de ses bretelles. #Gros-Rire- Pour répondre à nos questions, Bill nous regardait droiiiit dans les yeux et terminait avec un sourire. #Nous-Mourrons-
Dés que le photoshooting fût fini, tout le monde à quitté la piéce,
mais Bill est resté là, montrant son tatouage son sur bras - celui qui
dit "Freiheit 89" (Liberté 89, en Allemand).
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Tokio Hotel Brazil - No aeroporto! https://www.youtube.com/watch?v=6WxtA5KQq9M
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Article de g1.globo.com:
Lors du premier concert au Brésil, les cris de 5000 fans étouffent le son de Tokio Hotel.Le groupe pop allemand a joué au Via Funchal, à Sao Paulo, ce mardi (23 novembre). Le concert a duré une heure et demi, et a suivi la projection du DVD « Humanoid City Live ».
Précis comme un quatuor de robots, pour rester dans les métaphores futuristes à l'image du processus créatif du groupe, Tokio Hotel a joué pendant une heure et demie devant 5000 fans enthousiastes – des filles entre 10 et 15 ans pour la plupart. Le groupe allemand ne s'est pas détourné de son dernier album live, avec le moment fort au piano (qui s'enflamme) et la petite voix sur la ballade « Zoom into me ». La chanson a été jouée pendant le début du rappel, et seuls les jumeaux Kaulitz étaient sur scène : le chanteur Bill et le guitariste-pianiste Tom.
Avant le feu, il y avait une invitation que tout le monde connaissait. « Vous avez bien fait de venir, vous êtes prêts à vous amuser ? », a demandé Bill, présentant Humanoid City. La métropole futuriste donne son nom à l'album sorti en 2009 et au CD/DVD live qui est sorti en juin de cette année.
A 22h15, le rideau blanc, qui cachait la scène, s'est levé et a montré les musiciens, un par un, du batteur au chanteur. Dans les premières minutes, seule la voix du chanteur de 21 ans s'est battue avec les cris des fans, sa silhouette est apparue ensuite. Avec un très beau manteau, il dit qu'il n'a pas mis plus de 5 minutes à se préparer. Ils ont présenté une ville moins chargée, comparée à celle du DVD. La version de poche de la métropole a convaincu avec la mise en scène simple et les grands écrans, où l'on pouvait voir des images lugubres de destruction, des lasers, de gratte-ciels, et de toutes sortes de choses électroniques.
Le manque de surprise n'a pas enlevé son intérêt à ce concert, bien sûr. Très protecteur de sa voix, Bill a passé le concert habillé comme un joueur de football américain, mais dans une version « fête », plein de strass. Le chanteur a quitté la scène six fois pour se changer. Faire des vêtements aussi éclairés que des sapins de Noël n'est pas pour tout le monde. Avec d'autres choses, il a offert cette image « d'extraterrestre » à « tous ceux qui se sont déjà sentis étrangers dans leur vie. » Loin de l'hymne de l'affirmation personnelle des ados pré-pubères, « Hey You » a amené des paroles moins intenses, avec un effet épiques avec des flammes. Les flammes bien synchronisées ont aussi embelli « Darkside of the Sun », la dernière chanson avant le rappel.
Avec le gros « Break Away », la chanson qui donne beaucoup de travail au batteur Gustav Schäfer, le groupe a fait que les fans criaient encore plus fort. Lors de « Pain of Love », Bill apparaissait sur un petit podium assez inutile qui divisait la zone VIP en deux, ce qui a fait un grand bazar. Il n'y est monté que deux fois par la suite.
Assis, ils ont joué « Phantomrider » avec les percussions, la basse et la guitare. Toujours sur leurs tabourets, ils ont fait venir « la meilleure partie du concert », selon Bill. « Nous avons un petit rituel pour cette tournée, » a-t-il annoncé. Après cela, ils ont posé leurs instruments et ont applaudi le public, qui a fait un grand silence (juste un peu) pendant 15 secondes. Après ce moment calme, le chanteur de Tokio Hotel a disparu une nouvelle fois, pour réapparaitre sur la partie supérieure de la scène.
Cette fois, il y avait une moto pendant « Dogs Unleashed », suivie de « Love and Death », « In Your Shadow », et la célèbre « Automatic ». Aucun arrangement ne fut nécessaire : la tracklist était très organisée, et les petits papiers verts qui tombaient pendant « Forever Now », sur les fans enthousiastes, oui, Tokio Hotel est une machine qui rapporte. Et qui peut créer des hymnes pour ados.
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Tokio Hotel Brazil - No aeroportohttps://www.youtube.com/watch?v=6WxtA5KQq9M